Ian MANOOK, le parrain du salon

Le mot du Parrain

Le hasard veut qu’après l’Écosse, l’Irlande et l’Outaouais, nous nous attaquions, avec mon complice Gérard Coquet et sous le pseudo de Page Comann, à notre  troisième roman à quatre mains, sur le thème de la Provence. C’est dire si cette invitation à être le parrain de cette édition me touche et me ravit, et vous devinerez sans mal le plaisir avec lequel je l’ai acceptée. Rendez-vous en Provence donc, pour le plaisir d’écrire et de lire, et de nous retrouver entre auteurs et lecteurs.

Patrick Manoukian, né en 1949 à  Meudon, est un  journaliste, éditeur et écrivain français sous les pseudonymes de Ian Manook, Paul Eyghar, et Roy Braverman. Grand voyageur, il devient journaliste après des études à l’Institut français de presse.

Co-auteur de cinq bandes dessinées, auteur d’essais, de récits de routard et de romans, ses voyages nourrissent largement son inspiration. Sous le pseudonyme de Ian Manook, il publie la trilogie des « thrillers mongols » Yeruldelgger, multiprimée dont le Prix SNCF du polar et le prix des Lectrices de Elle chez Albin Michel - la série pour la jeunesse Tarko chez Atacas - une vingtaine de romans, policiers ou non, chez Albin Michel (Askja, L'Oiseau bleu d'Erzeroum, Le Chant d'Haïganouch…), des polars « polaires » chez Paulsen : À Islande, Ravage, et sous le pseudonyme de Roy Braverman aux Editions Hugo (Freeman, Manhattan Sunset, Pasakukoo, L’Inconnu de Chikkamuk Lake, Le Premier Fils,…). Dépaysement garanti !

Ravage - Éditions Paulsen

Un prodigieux roman noir sur fond blanc. Red Arctic, hiver 1931. Une meute d’une trentaine d’hommes armés, équipés de traîneaux, d’une centaine de chiens et d’un avion de reconnaissance pourchasse un homme. Un seul. Tout seul.  C’est la plus grande traque jamais organisée dans le Grand Nord canadien. Pendant six semaines, à travers blizzards et tempêtes, ces hommes assoiffés de vengeance se lancent sur la piste d’un fugitif qui les fascine. Cette course-poursuite va mettre certains d’eux face à leur propre destin. Car tout prédateur devient un jour la proie de quelqu’un d’autre.